Biographie
Sylvain Guinet est un compositeur français né en 1978, à Mâcon.
Dès sa jeunesse, il étudia pendant plusieurs années le piano et l’orgue électronique tout en participant à quelques concours européens d’interprétation. C’est dans la composition qu’il trouve réellement sa manière d’expression, son style et sa vocation qui le mèneront à Tokyo puis à Singapour.
Aujourd’hui, c’est aux 4 coins du monde que ses partitions s’envolent aux plaisirs des pianistes amateurs et professionnels qui se retrouvent transportés aussi bien dans l’univers des rêveries et du romantisme que dans le domaine de la méditation et du recueillement.
« L’inspiration », les fondements de son écriture.
Comme pour certains compositeurs, Sylvain Guinet écrit de la musique uniquement quand il se sent « inspiré », c’est ce qu’il appelle « l’écriture du cœur » par opposition à l’écriture d’une musique basée uniquement sur les règles du solfège, représentant « l’écriture du cerveau ».
Il aura passé de nombreuses années à définir exactement ce que l’on nomme « l’inspiration », comprendre pourquoi certaines pièces de musique de même niveau sont écrites en seulement 1 jour et d’autres en 10 jours.
Quelque soit le domaine artistique, l’inspiration est une « connexion à soi-même », un alignement, cela semble facile à dire et pourtant si difficile à cerner où à réaliser. Ressentir tous ces moments où l’on est authentique, où l’on est soi-même, sans se poser de questions. Le mental s’effaçant peu à peu permet de lâcher prise, d’être en pleine conscience et d’estomper les mauvaises émotions afin de se concentrer sur l’essentiel : vivre pleinement « le moment présent ».
Quand nous sommes enfin connectés, l’inspiration semble venir du plus profond de soi, tout semble lucide, facile et merveilleux. C’est le résultat étonnant d’une « méditation inconsciente ».
Dans cet état, nous sommes généralement coupés du monde extérieur car nous devenons « des créateurs ».

Comment jouer sa musique.
A notre époque, nous recherchons dans les interprétations « la perfection » et la « précision » tels que les concours de musique en témoignent.

L’apprentissage de cet art est certes fondé sur une grande discipline, mais au-delà de tout ceci, une fois que les difficultés techniques ont été surmontées, le musicien doit trouver sa propre voie, son propre style, et ne plus être un « imitateur esclavagiste » de la partition. « Un bon interprète ne joue pas la musique, il la vit… »
La partition doit juste incarner un support de travail sur lequel le musicien doit s’approprier personnellement la pièce de musique, intégrer ses propres émotions, ses propres ressentis, son propre vécu et que l’histoire racontée devienne la sienne et non celle du compositeur où de son voisin. En outre,
aucune performance ne devrait se ressembler d’un performeur à l’autre. Relâcher la rigidité pour laisser place à une « liberté plus intimiste ».
Ce pourquoi, les partitions de Sylvain Guinet, ne comportent pas de symbole de pédale de sustain et peu d’indications de nuances ou de tempo. « Soyez votre propre chef d’orchestre. »
Les repères de doigtés ne sont pas indiqués volontairement, car qui ne fut pas frustré de voir son professeur de musique raturer et modifier les doigtés de sa nouvelle partition.
Projet actuel : « Aider émotionnellement les gens par la musique »
Une décennie s’est écoulée pendant laquelle le compositeur, pour son plus grand plaisir, à offert gracieusement au public une centaine de ses œuvres. Ses mélodies se sont vite propagées au travers des mers et des terres. Les nombreux mails qu’il reçoit des auditeurs en retour témoignent couramment de l’efficacité de sa musique, apportant une aide importante à leur bien-être, permettant aussi bien d’évacuer les émotions, que d’apporter une relaxation ou l’apaisement de l’esprit. Ses pistes audios sont utilisées dans certains pays tel que le Japon, en accompagnement aux malades dans certains hôpitaux.
Depuis 2016, le compositeur se lance donc dans une quête musico thérapeutique, cherchant à approfondir les vertus procurées par la musique afin d’apporter davantage de soutient auprès des gens.
En 2018, après accord du cadre médical en France, il est autorisé à réaliser ses premiers essais en EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) à Mâcon. Les premiers résultats sont positifs, menant la majorité des patients émus à vivre une remontée de charges émotionnelles oubliées ou profondément enfouie.
Pour cette étude, il utilise ses musiques pour piano les plus sensibles, accordées au diapason d’un « LA » en 432hz et accompagnées de sons d’ambiance naturelle restituant l’écoute en trois dimensions. L’ensemble, permet d’immerger le patient dans son propre état intérieur.
« De nos jours, nous comprenons que l’univers dans lequel nous vivons est constitué de vibrations oscillatoires couvrant une large gamme de fréquences et de divers phénomènes physiques. Les ondes sonores sont un exemple de telles vibrations, qui peuvent nous affecter profondément à travers les différentes émotions qu’elles nous transmettent lorsqu’elles sont perçues comme une entité unique, la musique ».
Si vous-même, vous êtes une personne réceptive, ouverte et sensible, venez tester ses musiques thérapeutiques en allant directement sur la page « musicothérapie » du site même.
Actuellement, Sylvain Guinet est en cours d’essais dans un domaine plus approfondi, qu’il a qualifié de « Voyage intérieur », en introduisant en supplément des sons binauraux (mécanisme naturel appelé « la réponse d’adoption de fréquence ») conçus pour générer une modification des ondes cérébrales et amener à différents états d’esprit, comme : le bonheur, la concentration, l’élévation ou la détente.

Les causes et hommages pour lesquels il s’est investi
CLASSEMENT
Sylvain Guinet se positionne numéro 1 sur 2000 des compositeurs du site de Free-scores, une plateforme fournissant des partitions gratuites contemporaines, classiques et pédagogiques.
Son œuvre pour piano « Dragonice » est également classée numéro 1 des partitions préférées sur les 120.000 des partitions proposées.
