Informations Techniques
1 - La Musique
Dans la musicothérapie de Sylvain Guinet, sa musique joue le rôle le plus important des éléments car c’est celle-ci qui vous mènera directement à votre cœur, au centre de vos émotions. Suivant le degré d’ouverture, de sensibilité, d’acceptation, et de vos croyances, les ressentis divergeront d’une personne à l’autre.
2 - Les sons 3D de la nature
Le numérique favorise les usages grand public du son binaural, une technique qui restitue l’écoute naturelle, en trois dimensions.
Du son en 3D avec un simple casque, c’est possible ! Grâce (entre autres) à l’holophonie. Il s’agit d’un système de restitution de champs sonores basé sur un modèle physique. Les enregistrements sont réalisés à l’aide de deux microphones placés dans les oreilles d’une « dummy head ». Lors de l’enregistrement, chaque microphone perçoit le son mais avec un léger déphasage dû à la distance entre les oreilles / microphones et à la vitesse du son. Le résultat donne une expérience sonore réelle et d’immersion !
3 - Le 432hz (diapason)
Depuis la 2ème guerre mondiale, presque tous les musiciens de la planète ont accordé leur « La » à 440 Hz, mais pourtant, certains résistent toujours et encore à l’envahisseur et continuent d’appliquer le réglage d’antan, c’est-à-dire « 432 »
Nous savons que Goebbels avait imposé, en 1939 le changement de réglage du « La » à 440 Hz, mais d’autres certifient que ce changement serait antérieur, bien avant le régime nazi.
Quoi qu’il en soit, quelques scientifiques se sont posé la question des conséquences de ces différents réglages et l’institut Schiller, considérant que le réglage du La en 432 Hz est profondément entrelacé avec la nature, réclame l’abandon pur et simple du La en 440 Hz, affirmant qu’il engendre un effet intentionnel insalubre dans l’environnement et chez les êtres vivants, assurant que notre cerveau et notre ADN sont profondément branchés sur le « La » réglé à 432 Hz.
Dans cette polémique de la fréquence du diapason de référence, le compositeur Sylvain Guinet, a fait son choix aisément sur le 432hz puisque pour lui la différence est flagrante, il suffit de savoir écouter, comparer, ressentir et vos doutes s’estomperont.
4 - Les sons binauraux (non disponible sur le site)
(mécanisme naturel appelé « la réponse d’adoption de fréquence »)
Le son binaural connaît, depuis quelques années, un véritable succès dans le monde du développement personnel.
Une musique binaurale de qualité peut favoriser l’entrée dans de nombreux états de conscience, de la méditation à la concentration, avec un minimum d’effort du participant.
Un son mono spécifique est diffusé dans une oreille par un bruit rose (exemple 100 Hz) et ce même son est diffusé simultanément dans l’autre oreille mais avec une autre fréquence (exemple 110hz)
Le cerveau traite alors les 2 informations et les mélange créant ainsi un troisième son correspondant à la différence des 2 sonorités existantes à savoir pour le coup (110-100hz) 10 Hz. Cette sur cette fréquence que le cerveau va se caler. Tout en gardant cet exemple, la réception d’un signal 10hz aura la conséquence de vous relaxer sans pour autant vous endormir.
- A son état de pleine activité le cerveau est en rythme Bêta (supérieur à 12 Hz) : concentration, réflexion, anxiété, action.
- Lorsque nous prenons un instant pour nous détendre, fermer les yeux, nous relaxer, méditer, le rythme du cerveau ralentit et passe en rythme Alpha (entre 8 et 12 Hz). Dans ce rythme, l’activité des deux hémisphères cérébraux s’harmonise et permet une pensée plus créative, intuitive, ouverte vers des états différents de conscience.
- Lorsque le rythme du cerveau ralentit encore, il passe dans le rythme Thêta (entre 4.5 et 8 Hz), c’est l’état d’endormissement mais aussi d’un type très avancé de méditation.
- Et si le rythme du cerveau ralentit encore, il passe dans un état proche de l’inconscience, c’est le rythme Delta (inférieur à 4 Hz), ou la pensée est éteinte pour ne laisser la place qu’aux fonctions vitales, pendant certaines phases du sommeil.
Précisions : Les battements binauraux peuvent présenter un intérêt en neurophysiologie dans le travail sur le sens de l’ouïe. Leur influence prétendue sur les ondes cérébrales, sur la relaxation ou la santé n’a pas été prouvée scientifiquement, mais sont évoquées en médecine non conventionnelle
5 - Le cinquième élément (non disponible sur le site)
Cet élément sera gardé secret par le compositeur pour la raison suivante : nous sommes incarnés dans un monde où tout et son opposé existe, et si cet élément apporte des solutions positives au bien-être de son soi-intérieur, il peut être également, entre de mauvaises mains, être utilisé à « très mauvais escient », voir totalement dévastateur pour l’individu.